déja vu ailleur sur le fofo mais à revoir sans modération : à 09m45, mort de rire sur la conso et la pollution
https://www.youtube.com/watch?v=B4DxCX3XLpc
Wikipédia :
Le bureau d'étude Citroën envisage la variante GZ dès le cahier des charges d'avril 1968, bien qu'elle soit finalement commercialisée après la GS à moteur 4-cylindres à plat, de type GX. À partir de l'automne 1973, la GS est une des rares voitures à être ainsi équipée du « moteur Comotor » qui un moteur à piston rotatif. Sa version Birotor (pour deux rotors, 107 ch DIN, 175 km/h, successeur de la Citroën M35), est produite très peu de temps, à seulement 846 exemplaires23 : sa fiabilité avec l'usure prématurée des segments d'étanchéité du rotor et surtout l'énorme consommation (entre 12 et 20 litres au 100 km) à l'époque du choc pétrolier stoppent sa commercialisation un an après sa sortie. Elle possède entre autres particularité un réservoir à carburant de plus grande contenance (56 litres au lieu de 43), et son soubassement lui est spécifique.
Une peinture deux tons (sur certains modèles), des ailes élargies pour abriter des pneus de 165x14 et un train avant totalement différent, qui préfigure celui de la CX, au lieu des 145x15 des autres GS, distinguent la GS Birotor des autres GS et un tableau de bord spécifique avec cadrans ronds qui sera repris sur les séries X et X2 avant le nouveau tableau de bord de 1977.
Le « moteur Comotor » (birotor) est produit par la société du même nom: Comotor, une entreprise commune de Citroën et de l'Allemand NSU qui en dotera sa Ro 80 dans une version 626 (ce même moteur trouvera place sur la moto 1000 Van Veen). Ce moteur ne se vidange pas, il est lubrifié à travers le carburateur. Il est doté d'une pompe à air pour achever la combustion des gaz dans le pot d'échappement (système dit de « post-combustion actif en 2e »). L'absence de pièces en mouvement alternatif permet au moteur de tourner très vite, à tel point qu'une alerte sonore alerte le conducteur en cas de sur-régime.
La Birotor sera produite à un peu moins de 850 exemplaires entre 1973 et 1975. Devant les problèmes de fiabilité rencontrés, Citroën décide en 1975 de récupérer tous les exemplaires pour les détruire, en offrant une CX en remplacement. Une cinquantaine d'exemplaires y ont échappé.