Benji a écrit :http://www.radiomillecollines.be
Sacré Yves (Leterme)! Pour ceux qui ne savent pas ce leader flamand (enfin leader c'est vite dit) a comparé la RTBF, chaîne de service public francophone, à Radio Mille Collines, la radio qui, au Rwanda, encouragea le génocide des Tutsis et de Hutus modérés, en 1994.
L'humour belge quand tu nous tiens!
Hébé, tu es bien au courant de nos tracasseries interne pour une "étrangère". 
Benji a écrit :Hébé, tu es bien au courant de nos tracasseries interne pour une "étrangère".
Normal, la Wallonie sera bientôt rattachée au nord de la France, pour former avec le Nord une grande zone économiquement sinistrée massivement sponsorisée par l'UE, et donc aussi par le Flamands!
A propos, moi, Bruxellois d'origine :
1) je ne comprends pas toute cette merde wallon-flamand. Je serais le plus heureux des hommes si je pouvais être parfait trilingue dans les 3 langues nationales de notre pays multiculturel
2) je n'ai aucune envie de devenir Wallon non-belge, pas plus que d'être rattaché à la France
Il serait temps que nos sous-hommes politiques (sauf quelques exceptions) sortent un peu du bac à sable pour tarvailler sur les vrais problèmes : emploi, économie, bien-être, environnement, ...
Je suis content de ne pas avoir voté pour ce co..ard de Reyners. Je ne parle pas de Milquet, qui est exaspérante. Il y a quelques-uns qui sortent du lot heureusement, et dans les 3 régions. La clique socialiste wallone n'en fait pas partie. Par contre, Piqué oui.
Fabrice
Ayant appris le Néerlandais (si si!!) pendant mes études en fac d'Anglais (je sais vous allez me demander où est le rapport??Ben y a pas! ), j'ai également appris l'histoire, la politique et la culture de votre pays et puis je n'ai que des collègues belges (wallons et flamands, je vous raconte pas l'ambiance 
Non j'déconne!) donc ça aide...
Et puis si je 'dois' accueillir des wallons comme futurs compatriotes j'ai intérêt à m'imprégner de leur humour!
N'y voyez aucune ironie de ma part, j'adore vraiment l'humour belge et François l'Embrouille et ses caméras cachées notamment. Laurent Baffie et Lafesse peuvent aller se rhabiller!
raspoutine a écrit :Normal, la Wallonie sera bientôt rattachée au nord de la France, pour former avec le Nord une grande zone économiquement sinistrée massivement sponsorisée par l'UE, et donc aussi par le Flamands!
Attache sa ceinture de dynamite
JAMAIS !!!
raspoutine a écrit :je ne comprends pas toute cette merde wallon-flamand. Je serais le plus heureux des hommes si je pouvais être parfait trilingue dans les 3 langues nationales de notre pays multiculturel
Ben, je suis wallon (rectif : je suis né en Wallonie, et donc je suis Belge) et je ne comprends pas toujours le pourquoi, généré par des dizaines d'années de politiciannisme local de bas-étage savamment orchestré pour foutre tout ce qui va mal sur le dos de "l'autre".
raspoutine a écrit :je n'ai aucune envie de devenir Wallon non-belge, pas plus que d'être rattaché à la France
Certainement pas moi non plus.
Et je ne pense pas que ce soit demain la veille.
Et heureusement, je bosse pas mal en Flandres et mes collègues flamands n'y tiennent pas non plus.
(Mais ce sont des gens qui ont fait des études. Pas des vagues gueulards de bistrots qu'on retrouve à agiter des étendards...)
raspoutine a écrit :Il serait temps que nos sous-homme spolitiques (sauf quelques exceptions) sortent un peu du bac à sable pour tarvailler sur les vrais problèmes : emploi, économie, bien-être, environnement, ...
Tant qu'on aura pas une circonscription électorale fédérale, la tentation sera toujours trop forte.
Je n'arrive pas comprendre pourquoi ca n'a pas été la première revendication des francophones lors des négociations...
(Enfin, si, je peux comprendre, mais c'est un peu trop cynique...)
Benji a écrit :Tant qu'on aura pas une circonscription électorale fédérale, la tentation sera toujours trop forte.
Je n'arrive pas comprendre pourquoi ca n'a pas été la première revendication des francophones lors des négociations...
(Enfin, si, je peux comprendre, mais c'est un peu trop cynique...)
Je suis pour aussi. Etendue à toute la Belgique. J'ai envie de pouvoir vôter pour n'importe quel Belge pour me représenter.
Eh j'ai une solution à votre problème! Vu dans Le soir :
Le Soir
mardi 11 décembre 2007, 14:58
Il est temps de réagir. Devant la crise gravissime et sans précédent que traverse notre pays, nous avons demandé à notre équipe d'enquêter sur ce que seraient les meilleures solutions pour sauver l'unité du pays.
On décide qu'on ne parle plus flamand ou français ou wallon mais uniquement le hindi. Il s'agit là d'un nouveau départ, main dans la main. Tous au pied du même mur. Et là, on verra vraiment si le cerveau wallon est plus atrophié qu'un autre ou non. Bien sûr, le changement ne se fera pas en un jour. Les autorités et les journalistes feront figure de précurseurs.
Les journaux télévisés se donneront en hindi, pour qu'on s'habitue. Et dès que nous commencerons tous à baragouiner, on changera les plaques de rues et le nom des villes. Finis les Namur-Namen, Liège-Luik ou Lille-Rijsel !
Nous n'irons plus qu'à Nahmjür, Ahntwërpnar ou Bjlânkhanberg. Pour donner l'exemple, la Reine portera un sari et le Roi s'habillera en Dalaï-Lama. Nos vaches bleu blanc belge deviendront sacrées tandis que la Meuse et l'Escaut deviendront notre Brahmapoutre et notre Gange à nous. Nous irons nous y tremper chaque année pour nous purifier de nos péchés. Aux carrefours, les agents de police auront quatre bras, comme Shiva, ce qui leur permettra de régler la circulation tout en notant des contraventions dans leur carnet. Et l'ensemble de la nation profitera du formidable boom économique de l'Inde.
Do you speak martien??
raspoutine a écrit :Benji a écrit :Hébé, tu es bien au courant de nos tracasseries interne pour une "étrangère".
Normal, la Wallonie sera bientôt rattachée au nord de la France, pour former avec le Nord une grande zone économiquement sinistrée massivement sponsorisée par l'UE, et donc aussi par le Flamands!
c'est sympa pour nous ca 
je vois pas en quoi le nord est sinistré 
noreuh a écrit :...
On décide qu'on ne parle plus flamand ou français ou wallon mais uniquement le hindi....
Et l'ensemble de la nation profitera du formidable boom économique de l'Inde.
Sauf que je suis persuadé que la maîtrise de l'Anglais par une bonne partie de la classe professionnelle indienne constitue un atout et un facteur favorisant leur boom économique!
noiser59 a écrit :c'est sympa pour nous ca
On y peut rien, c'est comme ça. Le Nord partage son passé d'industries lourdes et de charbonnages avec notre Hainaut belge (d'où ma mère et mon grand-père - ex-mineur - sont originaires, d'ailleurs). Des subsides européens massifs sont injectés afin de convertir l'industrie et les travailleurs. Le taux de chômage y est élevé.
C'est un constat socio-économique, pas une maladie honteuse.
Et puis, sinistrée ou pas, on s'en fout, tant qu'on roule en 8...
Fabrice
Oui voilà j'allais le dire ça nous empêche pas de rouler en 8, y en a plein dans le 'ch'nord', et chez nous aussi les mines ferment une après l'autre
Moi je dis vive le flamon ou le walland! Non au hindi!
Mon opinion sur nos langues nationales a toujours été celle de'imposer le bilinguisme sur TOUT le territoire belge, et pas seulement à Bruxelles.
raspoutine a écrit :Mon opinion sur nos langues nationales a toujours été celle de'imposer le bilinguisme sur TOUT le territoire belge, et pas seulement à Bruxelles.
Ouaip, mais entre les 2 guerres, un trouveau de politiciens en a décidé autrement.
L'idée était que le flamand disparaitrait comme "langue officielle", comme l'on fait auparavant, le Wallon, le picard, l'alsacien, le brabançon, le frieslandais et des centaines de langues "masse critique" insuffisante.
Ils avaient tord.
En Belgique, le socialisme wallon et le mouvement flamand ont la même origine : La lutte sociale des "petits" contre une "élite" (francophone) qui les exploite (oui, c'est une idéologie du début du XXeme siècle, mais bon, vu que la classe politique et la presse y sont toujours).
En flandre ca donne une sensibilité de chaque instant pour ce qui est assimilé pour de l'arrogance ou du non respect de leur culture.
En wallonie, ca a donné une culture de l'égalitarisme à tout va, et au fait qu'un homme politique doit être "à ton niveau", et donc être ton copain et te filer du boulot quand tu le demandes si tu le croises au bistrot du coin.
Sociologiquement, les comportements sont les mêmes.
Les 10 solutions pour sauver la Belgique Toujours dans le même journal, j'adore!
Face à l’engouement provoqué par la publication de notre dossier consacré aux dix propositions pour sauver la Belgique, c’est avec un plaisir teinté d’un brin de fierté que nous vous proposons notre deuxième suggestion.
Philippe Geluck.
On change carrément la Constitution et on transforme la Wallonie en gigantesque paradis fiscal à grande échelle. Une espèce de super Monaco mâtiné de Las Vegas. On a déjà tous les tubes néons, il suffit de récupérer ceux qui éclairent nos autoroutes et de les placer sur nos façades. On engage Céline Dion qui viendra chanter pendant trois ans à Chaumont-Gistoux. Le Roi se lance dans l’immobilier et, comme Rainier, récupère du terrain sur la mer, agrandissant ainsi notre territoire national. Par ailleurs, il organise des bals de la Croix-Rouge et des festivals du cirque. Les Princes et Princesses, eux, se livreraient à des frasques pour alimenter les colonnes de la presse people et il y a juste Paola qui doit faire attention à ne pas conduire trop vite dans les tournants pour ne pas terminer comme l’autre dans le ravin. Mais les Flamands dans tout ça ? direz-vous. Eh bien, les Flamands seront ravis d’avoir un paradis fiscal juste à côté de chez eux. Non seulement ils ne devront plus verser un sou à la Wallonie qui aura opéré un spectaculaire redressement économique, mais ils pourront venir déposer les leurs sur des comptes numérotés à Esneux, Jambes ou Recogne. Et s’ils sont très gentils avec eux, peut-être les Wallons ne demanderont-ils pas leur indépendance dès qu’ils seront riches…
Et voici la 3è solution..Bon il reste plus qu'à espérer que Mazda devienne une marque belge, sinon vos 8 vous allez pouvoir nous les revendre
C'est la crise en Belgique depuis les élections du 10 juin dernier. Le chat de Philippe Geluck nous trouve des pistes pour en sortir. En voici une troisième: et si le pays devenait un parc d'attractions?
Philippe Geluck
Il suffirait de deux ou trois aménagements pour transformer notre pays moribond en une jeune et dynamique entreprise. Avec le paquet de ressources et de talents dont nous disposons, les investisseurs devraient logiquement se bousculer au portillon. Et avec le pognon qu'ils mettraient sur la table, nous devrions pouvoir payer notre dette et être blindés pour un bon moment. En échange, nous accepterions que notre pays devienne un immense parc d'attractions dont nous serions les figurants. C'est déjà un peu le cas, sauf qu'on ne nous paie pas pour ça. Chaque Belge n'aurait plus de vêtements à lui, mais un costume de travail, payé par l'entreprise et fabriqué en Belgique. Chaque automobiliste ne serait plus propriétaire de sa voiture, mais disposerait d'un véhicule de société (une auto de marque belge) qu'il utiliserait à titre professionnel pour faire des animations. Les encombrements matinaux du carrefour Léonard ne seraient plus d'imbéciles embouteillages faisant perdre chaque semaine des millions d'heures de travail à la communauté, mais un spectacle divertissant pour touristes voulant rigoler un bon coup. Pour nous, rien ne changerait fondamentalement. Il faudra simplement s'habituer à la présence de touristes japonais qui viendront nous photographier dans notre vie quotidienne jusque chez nous, à la maison. Les pêcheurs de crevettes à cheval d'Oostduinkerke en ont l'habitude.
Désormais, ce sera pour tout le monde. Comme à Euro Disney, les visiteurs pourront se faire tirer le portrait à côté de chaque Belge. Tous les après-midi à 16 heures, il y aura une grande parade, depuis la gare du Nord jusqu'à la gare du Midi. Un jour habillés en syndicalistes, l'autre en moines bouddhistes… Nous ne serons plus des citoyens d'un pays mais des salariés d'une entreprise. Les visiteurs auront l'embarras du choix pour les animations : ça ira des parcours en tram (sur lesquels il faudra juste ajouter quelques loopings genre montagnes russes) aux descentes de la Meuse en kayak ou encore au saut à l'élastique " Chez Albert " à Marche-les-Dames. Bref, le jour de l'ouverture de Belgikland, Walt Disney et Walt Libi auront du souci à se faire…
noreuh a écrit :... au saut à l'élastique " Chez Albert " à Marche-les-Dames. ...
Solution nº4
Certains, nous en sommes sûrs, considéreront cette quatrième solution comme exagérée, voire irréalisable. Et pourtant d’autres, avant nous, l’ont essayée et adoptée. Il s’agit du suicide collectif. À première vue ça semble un peu raide, je vous l’accorde, mais faut-il pour autant s’interdire de l’évoquer ? Non, n’est-ce pas ! Alors, raisonnons deux minutes, sivouplaît. Notre credo est bien celui de sauver la Belgique, non ? Or la Belgique est un pays et non un peuple. Peut-être le plus grand problème de la Belgique est-il les Belges ? Et personne ne s’en serait rendu compte depuis 176 ans. En éradiquant le Belge de la Belgique, ce pays deviendrait peut-être parfaitement gouvernable. Ça vaudrait le coup d’y penser. Il suffirait pour ça que nous devenions une grande secte et que notre gourou nous persuade que la vie serait beaucoup plus belle sur Sirius ou Andromède. Il nous ferait boire un breuvage hallucinogène et empoisonné et le tour serait joué ! Ce petit pays de cocagne que nous n’avons pas su chérir comme il le méritait pourrait accueillir un peuple sans patrie qui saurait s’en occuper en bon père de famille. Quant à nous, nous resterions à jamais présents dans le coeur de nos frères humains comme ceux qui ont su partir avant de lasser. Nous serions cités en exemple dans les écoles du monde entier au lieu d’être la risée de la planète. Le problème le plus
délicat resterait sans doute de choisir notre gourou et de déterminer les modalités du passage à l’acte. Les Wallons doivent-ils se suicider avant les Flamands ? Ou ne ferait-on pas mieux de commencer par les habitants de Halle et Vilvorde ? Le gourou doit-il être nommé par le Roi ? Doit-il être Wallon ou Flamand ? Doit-il être arc-en-ciel, orange bleu ou apolitique ? Sa désignation risque de prendre un peu de temps. Temps que nous mettrons à profit pour déterminer si cette idée de suicide collectif est vraiment bonne et si ça vaut vraiment la peine de la mettre tout de suite en oeuvre ou si on attend la fin des dix propositions pour décider.
En ce qui me concerne, je verrai plutôt un suicide collectif des politiciens belges. Beaucoup plus utile. S'il faut un coup de main pour les suicider, je suis sûr qu'on pourra trouver quelques volontaires facilement.
Pas mal l'idée du suicide mais trop compliquée car trop longs à se décider encore une fois
La solution n°5 :
C'est la crise en Belgique depuis les élections du 10 juin dernier. Le chat de Philippe Geluck nous trouve des pistes pour en sortir. En voici une cinquième : et si on déplaçait la Belgique ailleurs ?
Geluck
Peut-on encore sauver la Belgique ? En vaut-elle la peine ? Le méritons-nous ? Nous détenons peut-être la solution parmi ces dix suggestions. Profitons de ce cinquième chapitre pour saluer la mémoire de ceux qui se sont arrêtés au bas quatrième, en le comprenant comme un commandement et non une proposition (je rappelle, à l'intention de ceux qui rejoindraient cette saga en cours de route, qu'il s'agissait de l'évocation d'un suicide collectif).
Solution nº5
Le déplacement de la Belgique vers une autre contrée du globe pourrait sembler, à première vue, un chantier irréalisable. Ce serait sans compter sur le génie wallon et la détermination flamande. Et, au moins, ça ferait travailler nos entrepreneurs en travaux publics et, comme disait l'autre, ça voudrait dire que le bâtiment irait et que, donc, tout irait. L'enjeu est de taille : il s'agit de démonter la Belgique pierre par pierre et d'aller la reconstruire ailleurs. Le coût des travaux serait financé par la revente de notre territoire national. Au prix du terrain, ça peut valoir cher. Et c'est idéalement situé : accessible par la route et par la mer, ce petit territoire verdoyant vous permettra de réaliser tous vos projets. Sa situation privilégiée au centre de l'Europe en fait la plaque tournante idéale pour vos trafics en tous genres (mafia, prostitution, armes, etc.) Mais, me direz-vous, qu'est-ce qu'on devient nous et où c'est-t'y qu'on va ? Bien sûr, il faudra décider de tout ça ensemble, mais notre idée serait, à l'instar de feu Rainier qui avait construit sur la mer, de bâtir une île au large de Monaco. Les avantages seraient multiples : nous aurions le beau temps toute l'année, Justine Henin et quelques autres devraient aller moins loin pour rentrer chez eux, les Ardennais pourraient enfin développer la pêche en mer et les Flamands diraient « vijftien en zestig » (soixante-quinze) au lieu de « vijf en zeventig » (septante-cinq). Notre sentiment est que si ça va mal ici, c'est à cause du mauvais temps et que, sous le soleil du Midi, nos querelles intestinales, euh… pardon, intestines passeraient pour de sympathiques galéjades. D'improbables escagasseries qui s'aplaniraient autour d'une partie de pétanque au son du chant des cigales.
Vu sur le net:
Nouvelle illustration des tensions nationales en Belgique entre Flamands et francophones: Miss Belgique, une Wallonne élue ce week-end, ne parle pas bien le néerlandais, a relevé lundi avec indignation la presse flamande.
"Miss Belgique ne parle pas le néerlandais" titre ainsi le grand journal populaire flamand Het Laatste Nieuws, après l'élection d'Alizée Poulicek, originaire de la province de Liège (sud).
Le quotidien constaste que "la crise communautaire dans notre pays", qui dure désormais depuis plus de six mois, empêchant la formation d'un nouveau gouvernement, "s'insinue dans les secteurs les plus légers". "La Liégeoise, première Wallone à être élue miss Belgique depuis 2003, ne parle en effet pas le néerlandais. Et ça, ça ne passe pas bien", observe-t-il.
Cette blonde étudiante en langues romanes de 20 ans qui, outre le français, parle le tchèque et l'anglais, s'exprime en effet très malaisément en néerlandais.
La cérémonie se déroulait à Anvers, au coeur de la Flandre, et lorsque Mlle Poulicek a avoué ne pas comprendre une question posée en néerlandais, elle s'est attirée les huées des 4.000 spectateurs présents.
L'incident n'a pas empêché son élection par les téléspectateurs, mais lors de la conférence de presse qui a suivi, les journalistes flamands l'ont assaillie de questions mettant en évidence ses lacunes en néerlandais, langue maternelle de 60% des Belges.
Témoignant de l'impact de l'affaire, le journal de référence flamand De Standaard lui a consacré son "forum" internet, publié sur un tiers de page, où les lecteurs dans leur majorité réprouvent la méconnaissance du néerlandais de la nouvelle Miss Belgique.
Mlle Poulicek, qui avait déjà pris des cours de néerlandais avant son sacre, a promis de se perfectionner.
© 2007 AFP
^^ C'est un peu scandaleux en effet, sachant qu'elle est sensée représenter la Belgique. De par le réglement, les participantes doivent être bilingues.
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