Il n’y a décidément pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre. 
Faraday a découvert le principe en 1846 lors de ses expériences sur les champs magnétiques. Cela ne veut pas dire qu’il recherchait à économiser le pétrole à ce moment là, cela veut simplement dire que le principe a été découvert. Petite précision pour Greg 83, sur la flamme d’un bec de gaz et non sur la consommation d’un moteur à explosion. 
Je vous livre ici la traduction d’un rapport d’étude effectué par le Docteur Settimio GRIMALDI du « CONSIGLIO NAZIONALE DELLE RICERCHE » (Conseil National de la recherche) en Italie.
CONSEIL NATIONAL DES RECHERCHES
Institut de Neurobiologie et Médecine Moléculaire
Bases théoriques pour la démonstration de la possibilité de contrôler la combustion avec des dispositifs à champs magnétiques et électromagnétiques : Revue de la littérature existante.
Le siècle qui vient de se terminer a été le témoin du développement de technologies corrélées à la production de champs magnétiques.
Ces 25 dernières années, beaucoup d'attention de la part du monde scientifique a été portée à étudier des effets des champs magnétiques sur la santé de l’homme, sans pour autant arriver à des conclusions définitives.
Si d'une part il y en a qui soutiennent que l'exposition à des champs magnétiques peut interférer avec l'activité biologique des cellules, en donnant lieu à l’ apparition de pathologies, d’autres se rangent à l’idée de l'innocuité de tels champs. Entre ces deux écoles, il en est même qui prétendent utiliser de tels champs pour la fabrication de médicaments pour le traitement de fractures osseuses et des problèmes neuro-moteurs.
D'un point de vue logique, on peut penser qu’entre des cellules humaines et l’électromagnétisme il puisse y avoir compatibilité électromagnétique, vu que l'activité électrique est une caractéristique particulière de beaucoup de cellules de notre corps. De ce point de vue donc, il n'est pas improbable que prochainement on puisse employer des champs magnétiques en médecine dans la fabrication de médicaments.
Que cependant un champ magnétique puisse être employé pour combattre la pollution atmosphérique ou pour résoudre (pour le moins en partie) le besoin crucial en carburants, ceci cependant, vraiment, bouleverse le monde scientifique et pas seulement.
Certes, Maxwell et Hertz, Righi ou Marconi pensaient qu'en plus de faire voyager les informations, de tels champs, pouvaient même servir à faire bouger des automobiles !
Ces dernières années, en effet, il est apparu sur le marché des dispositifs magnétiques, susceptibles de diminuer la production de gaz à effet de serre produits de la combustion de combustibles liquides ou gazeux, et par conséquent, de permettre une épargne énergétique.
À coups de jurons s’est exprimé le dédain d'une armée de scientifiques et de techniciens qui ont utilisé un terme peu élégant, américain : ils ont défini les tenants de tels mécanismes, comme producteurs de "bull shit" : excréments de taureau.
Cependant, si on étudie l’argumentation plus à fond, on s’aperçoit de l'existence d'une certaine quantité de littérature technique et scientifique, publiée via des revues internationales faisant autorité, admettant la possibilité qu'un champ magnétique puisse interférer avec la combustion de combustibles, tant liquides que gazeux.
Alors que l'effet d'un champ électrique sur la combustion d'un combustible est un phénomène connu seulement depuis soixante ans (Lowton et associés), l'effet d'un champ magnétique est connu lui depuis 1846, soit depuis que Faraday remarqua qu'une flamme, lorsque elle était plongée dans un champ magnétique, était plus lumineuse qu'en absence du même champ.
Évidemment Faraday en déduisit que dans la flamme il pouvait y avoir être des particules qui étaient en mesure d'interagir avec le champ magnétique et qu’en conséquence de cela la température de la flamme était augmentée ainsi que l’ intensité lumineuse de la flamme même. Longtemps après, Von Enghel et Cozens en 1964, montrèrent que le phénomène observé par Faraday pouvait être attribué à des gaz paramagnétiques présents dans l'atmosphère dans laquelle la combustion du combustible se produisait.
Au cours des 20 dernières années, Ueno, Mizutani, Wakayama, Fujita et d’autres ont montré comment un champ magnétique non homogène peut interférer avec les réactions chimiques typiques de la combustion et dans le transport des gaz. La vitesse de transport de certains gaz est entravée par les champs magnétiques pendant que celle d'autres gaz est augmentée (Ueno, Wakayama, Fujita)(figure suivante).
Parmi les diverses théories développées, il en est qui avec intérêt expliquent comment la combustion d'un combustible puisse être rendue plus efficace en présence qu'un champ magnétique, telle celle qui considère l'atmosphère comme composée d'un mélange de gaz dont certains sont paramagnétiques (oxygène) et d’autres diamagnétiques (anhydride carbonique, azote...). Hueno et Arada suggèrent que l'oxygène (figure suivante)
pourrait venir se concentrer entre les pôles de l'aimant entre lequel se produit la combustion en en augmentant l'efficacité. En 1985 Ueno, dans une étude sur la combustion de combustibles liquides, parmi lesquels l'essence (figure suivante),
en présence de forts champs magnétiques statiques, concluait que la présence de champs statiques de valeur prédéterminée induisait une plus grande efficacité dans la combustion du combustible.
D’ études menées depuis trente ans de recherches et jamais réfutées, sauf par certains qui ne savent pas de quoi ils parlent, on peut déduire qu'il est possible de contrôler la combustion en appliquant un champ magnétique statique d’intensité appropriée, suivant un vecteur et un gradient déterminés, et que donc dans des conditions particulièrement contrôlées, la combustion puisse se produire plus efficacement et donc (voir figure)
avec un rejet moins important de produits dus à une mauvaise combustion, dans l'atmosphère.
Dr. Settimio Grimaldi
(désolé mais les shémas ne passent pas)
Bien sur cela ne veut pas dire que les produits vendus sur le marché fonctionnent tous, mais simplement que le principe tant décrié par ceux qui n’y connaissent rien est réel. Et comme je vous l’ai dit plus haut, il en existe qui fonctionnent.
Quant à VAG et BMW, ils auraient pu faire mieux si leur but premier avait été la diminution de la consommation et non l'augmentation des performances.
Ne soyez pas les pantes des constructeurs, il n'y a que quelques mois qu'ils s'intéressent (et pas tous) à la pollution et à la diminution de la consommation parceque ça fait bien.
Bonne journée